
Le baby phone
Idem que pour la poussette, il en existe des centaines…
En vrai c’est là que je me suis rendu compte que les bébés c’est un vrai business qui profite des parents sans connaissances, qui veulent le plus sécurisant pour leur enfant.
Alors personnellement j’avais prévu que bébé dormirait en cododo, donc j’ai acheté le babyphone après la naissance. Ma fille était constamment à côté de moi (vous comprendrez plus tard pourquoi).
Je savais une chose : je voulais avec écran pour voir baby.
J’ai acheté, en toute transparence mon babyphone sur VINTED, état neuf 100€ au lieu de 150€. Pour certaines choses l’occasion c’est top, économique et écologique😊
Vous trouverez le lien de mon babyphone en bas de page.
LES PLUS de ce babyphone :
– Ecran avec image de qualité
– On peut lancer des musiques à distance
– On peut parler à bébé à distance (genre quand elle se réveille lui dire « Maman arrive »)
– Bonne qualité de son (entendre sa respiration)
– Capte super bien même dans le jardin
– Existe en plusieurs modes
Le MOINS : La batterie qui ne tient pas très longtemps
Le babyphone fait partie des indispensables pour se sentir sereine à distance avec un bébé en sécurité sous notre surveillance.
Et tout ce qui peut rassurer un cœur de parent n’est pas à prendre à la légère 🙌
Plus jeune je me voyais maman à 25 ans, et à 25 ans je me suis dit on va attendre 28 ans et au final à 30 ans je ne l’étais toujours pas. Ces années m’ont fait prendre en maturité et m’ont permises de prendre conscience que créer et donner la vie n’est pas une question d’âge, mais d’envie de partager avec la personne que l’on aime, le projet le plus intense possible, tout en sachant que celui-ci va changer le sens de nos vies.
L’envie était là pour Maxime comme pour moi, mais nous nous disions souvent : Est-ce le bon moment ? Je suis infirmière, Maxime travaillait dans le monde de la nuit, notre maison était en rénovation, casi terminée et BIM le COVID est arrivé ainsi que toutes les craintes qu’il a engendré. Max a perdu son emploi, nous avons été confiné (partiellement pour ma part travaillant à l’hôpital). Notre quotidien a été chamboulé, habitué à se croiser avec nos horaires particuliers, nous avons appris à vivre ensemble chaque soir, chaque nuit, chaque jour. On a parlé, parlé et encore parlé de choses et d’autres durant ces longues journées et soirées enfermées. Et c’est durant cette période que nous avons pris conscience que rien n’est acquis et qu’à tout moment nos vies peuvent changer. Alors on s’est dit « arrêtons d’attendre le bon moment, nous sommes prêt, c’est donc le moment ».
Et nous voilà en mai 2020 pour l’ablation de mon stérilet.